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hard core metal musique hard-core 2011 slayer straight edge machine head – supercharger posté le 5 juillet 2018 par admin origines machine head fondé à oakland en 1992, machine head sort son 1er album rageur burn my eyes(1994) qui lui permet de se faire connaître et de tourner aux etats-unis et en europe. 3 ans plus tard, il signe the more things change. depuis 1999, la formation nous donne de ses nouvelles tous les ans: burning red, un live et ce nouvel opus. la production est assurée par johnny k (disturbed) et le mixage par colin richardson (cannibal corpse). l’album supercharger machine head assène les 14 titres de supercharger avec une féroce conviction. grosse disto, riffs speed, batterie explosive côtoient des passages plus posés sur lesquels le chanteur robert flynn expose l’étendue de son répertoire vocal à grand coup de violoniste concert tantôt crooner et inquiétant, tantôt hurlant et menaçant. une belle démonstration d’un groupe qui maîtrise parfaitement son style genre : metal hurlant label/distr.: roadrunner posté dans non classé | avis lofofora : album double posté le 1 juin 2018 par admin ainsi nous accueille reuno sur le site de lofofora, « une chose est sûre: nous ne serons jamais des stars, plutôt sucer un chien ». voilà bien le sel de ce groupe formé en 1989, autour de reuno et phil, échappés de l’hôpital ephémère. quatuor hardcore depuis la rencontre fortuite, lors d’une répétition avec sriracha sauce, de pascal et edgar en 1992, lofofora explose avec un premier ep de 5 titres dont la célèbre reprise de zobi la mouche. suivront d’inlassables scènes, le remplacement de pascal par farid (guitare), des opus ravageurs peuh !, dur comme fer et aujourd’hui ce double avec 12 titres live et 7 hommages à gainsbourg, arno ou bashung… l’album double le 1er cd répondra sans décevoir aux attentes des fans avec en live holiday in france, incarné, les gens, jazz trash assassin… plus étonnantes et accessibles à tous, même quand on n’est pas porté sur le hardcore, sont les réorchestrations trashies mais fidèles de quand on a que la haine de oth et vive ma liberté de arno, des titres qui s’y prêtent. un bémol pour la reprise du très beau madame rêve de bashung dont il ne reste plus grand chose de la magie originelle. mais l’ensemble, et surtout les gens de maintenant, marque bien le parti pris violemment humaniste de ce groupe actif, en tournée de soutien à l’association orphelins s.i.d.a. international, du 10 au 26 mai. (acmé). posté dans chroniques albums | avis sur sepultura : album nation posté le 15 avril 2018 par admin historique de sepultura 3 ans après l’album against, le premier enregistré avec le remplaçant du chanteur max cavalera (parti en 1996 pour former soulfly), derrick green, le groupe brésilien mythique de la scène métal international est de retour. nation regroupe des personnalités aussi diverses que l’ancien leader des dead kennedys, jello biafra, la légende du dub de brooklyn, dr israel, le quatuor à cordes finlandais apocalypotica et le producteur steve evetts (amen, buried alive, hatebreed, cattle press). l’album nation nation est un album plein de puissance, de rage et d’efficacité au sein duquel sepultura s’applique à dégager des ambiances contrastées. il alterne des riffs bien bourrins poussés par une distorsion gigantesque et des passages plus calmes et plus subtils harmoniquement. heavy, speed ou trash, tous les registres du métal sont abordés avec beaucoup de talent et de conviction. on n’en attendait pas moins des géants brésiliens. (d.h) label : roadrunner un live furieux en vidéo… sepultura est un des groupes vétérans de la scène metal internationale. formée en 1984, la formation brésilienne s’est imposée avec une musique agressive et sans concession. après le départ de son leader, max cavalera en 1997, le groupe décide de continuer en engageant derrick green dont la voix puissante n’a rien à envier à celle de son prédécesseur. la preuve en image. posté dans chroniques albums | slipknot : les masques et l’enclume, concerts à paris posté le 5 mars 2018 par admin moins vieux que kiss et plus lourd que metallica, slipknot assène de surcroit un show spectaculaire qui renvoie marilyn manson à ses bios de bowie. flanqué des carnassiers machine head et children of bodom, le groupe metal de l’année dévaste ce soir et demain un zénith parisien bourré à craquer. slipknot pulvérise paris deux soirs d’affilée fort du succès planétaire de son récent cd « all hope is gone », les neuf grimés poursuivent le plan de domination mondiale qu’ils annoncent depuis leurs débuts ou presque. démarré cet été aux etats-unis, le « all hope is gone tour » a déjà ravagé le japon, l’australie et la scandinavie. ils étaient hier à amsterdam, et s’en iront ensuite slipknotiser l’allemagne, puis l’angleterre. (ça urge : appelé cet été à la rescousse pour « sauver » les festivals anglais de reading et leeds en mal de tête d’affiche -le rock dit « indé », c’est bien mignon, mais quant à drainer les foules…- slipknot a du la mort dans l’âme céder la place à metallica pour cause de cheville écrabouillée du batteur joey jordison). en attendant, les « maggots » français ( les « asticots », c’est le sobriquet officiel des fans du groupe) décomptent les heures avec d’autant plus d’impatience que slipknot n’était pas venu faire son cirque depuis 2004. ceux qui n’ont pas de billet, en revanche, balisent grave… slipknot post-humaniste sombre il existe des raisons extra-musicales à ce raz-de-marée idôlatre. les membres de slipknot donnent l’impression d’être investis d’une « mission » autre que la quête de la gloire et des dollars. par exemple, ils n’hésitent pas à déclarer dans une interview mise en ligne par daily motion* qu’ils se foutent qu’on télécharge leur musique. ce n’est peut-être qu’une stratégie marketing de plus, mais elle fonctionne : « a la bonne heure ! », s’écrie ce fan venant d’apprendre que, pendant ce temps-là, le croisé anti-napster lars ulrich a fourgué un tableau de basquiat pour 13,5 million de dollars… enfin, le groupe ne donne pas spécialement dans le politically correct : slipknot vomit des hymnes antisociaux comme « people = shit » et, loin de motiver la jeunesse à de quelconques actions citoyennes, écologiques, caritatives, etc… proclame haut et fort que « tout espoir est perdu » (« all hope is gone »). irrécupérables, infréquentables… donc rock, au sens antique perdu du terme. pour ces neuf ploucouzes de l’iowa, l’apocalypse a déjà eu lieu. a présent règne le chaos. ils mettent les deux en scène à chacun de leurs concerts. posté dans hard-core | cro-mags live 2016 posté le 28 janvier 2018 par admin le cro-mags des années 80/90 est définitivement envolé pour ceux qui ne savent pas : durant l’été 2012 harley flanagan le bassiste fondateur du groupe, avait été agressé par 2 nouveaux membres de son groupe . s’en étaient suivies plaintes et dénigrement les uns envers les autres (john joseph enfonçant son ex-camarade)… quelques années plus tard la justice donnera en partie raison à flanagan. bref les temps changent, et on retrouve la nouvelle formation cro-mages en live lors de l’été 2016 avce toujours john joseph au chant . et surprise le concert débute sur 2 morceaux de… bad brains ! posté dans hard-core | concerts hard-core old school 2017 posté le 6 décembre 2017 par admin le hard-core des années 80 n’est pas encore mort. preuve, les grosses pointures de ces années là pintent leur nez en france en 2017 pour une série de concerts : agnostic front à paris cette semaine (19 novembre 2017), après avoir été à biarritz durant l’été ! d.r.i est passé en juin en france gbh a joué à lleda en espagne mais n’est pas passé en france (ils ont donc survécu à leur punk attitude et sont toujours vivants !) youth of today , princes du straight edge, ont fait des concerts en allemagne posté dans hard-core | next page » magazine musiques metal hard-core pour ceux qui ont connu le milieu des années 80 et jusqu'aux années 90. l'éphervescence post-punk
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